Études et rapports

 Le débat ne fait que commencer grâce au député de l'opposition André Simard  André Simard

Des études scientifiques et des rapports publics corroborent les affirmations des organisations de protection animale.

Etude scientifique cachée. En Europe, les instances officielles ont produit un rapport scientifique enterré prématurément. L'étude relève des risques de sécurité sanitaire en abatoire Casher et Halal. Par ailleurs, les experts décrivent la lente agonie des bêtes comme suit : " l'égorgement est en lui même douloureux, l'incision provoque une douleur majeur, la contraction des muscles de la plaie est très douloureuse, l'invasion du sang dans les poumons provoque une sensation d'étouffement. La perte de conscience liée au déficit du cerveau en nutriments et en oxigène est lente...."

Un rapport confidentiel du conseil général de l'alimentation pointe les dérives de l'abattage rituel et les souffrances des animaux.

   

La souffrance des animaux

 "L'animal encore conscient est laissé sur le sol en train de perdre son sang avec des mouvements de pédalage témoins de douleurs et d'un état de conscience", peut-on lire. Selon l'étude, l'égorgement - même s'il doit permettre une mort rapide - provoque une "douleur majeure" et "l'invasion de sang dans les poumons provoque une sensation d'étouffement". D'autant que les outils utilisés ne sont pas en bon état. "L'égorgement rituel halal peut se faire avec un couteau mal aiguisé ou inadapté d'où des mouvements aller et retour de sciage de la plaie du cou de l'animal, dont on peut penser qu'ils génèrent une forte douleur". Le conseil de l'alimentation préconise un nouveau classement des abattoirs qui prend en compte, en plus des aspects sanitaires, la souffrance de l'animale.

 

Les questions d'hygiène

Cette technique d'abattage peut également avoir des conséquences sanitaires. Au moment de l'égorgement, l'oesophage de l'animal est tranché et le contenu des intestins a donc plus de risques de se déverser sur la viande. Si celle-ci est souillée, elle peut véhiculer l'Escherichia coli, une bactérie provoquant des infections rénales. A ce risque s'ajoute celui provoqué par la douleur subie par l'animal. En effet, le stress ressenti par l'animal au moment d'être abattu provoque une sécrétion de toxines, rendant la viande indigeste.

Rapport Confidentiel
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Problèmes liés au bien-être animal lors des abattages religieux

L’abattage religieux a fait l’objet de controverses pendant des décennies à cause des problèmes liés au bien-être animal. Ils peuvent se résumer de la façon suivante:
• manipulations stressantes avant l’abattage:
– cages rotatives, entrave des membres et bandage des yeux des animaux;
• souffrance possible lors de l’entaille du cou et par la suite:
– entaille du cou sur des animaux conscients, frottement des bords de la blessure et gonflement des carotides;
• variations du temps nécessaire à la perte de conscience après la saignée:
– entailles inefficaces et gonflement qui empêche l’hémorragie et compromet le bien-être.

 

Source: Manipulations avant l'abattage, méthodes d'étourdissement et d' abattage ( Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO)

Pour les scientifiques, un long article documenté sur les mécanismes de douleur dans l'abattage qui justifie l'obligation d'étourdissement et condamne le ‪#‎halal‬ et le ‪#‎casher‬

Étude scientifique mars 2015

Pour affiner nos techniques de l’induction de l’inconscience et de la mort dans le cadre de l’abattage, il est nécessaire de connaître les systèmes neurobiologiques sous-jacents. Ces derniers sont décrits dans cette revue en fonction de l’espèce et des techniques utilisées en abattoir.


L’induction de l’inconscience et de la mort sont deux enjeux importants dans le cadre des questions éthiques qui entourent l’abattage. L’inconscience et la mort doivent être provoquées le plus rapidement possible, en évitant d’induire du stress et de la douleur. La présente synthèse a pour objectif de présenter l’état actuel de nos connaissances scientifiques sur le fonctionnement cérébral conduisant à la perte de conscience et à l’installation de la mort, pertinentes pour le contexte de l’abattage. Ces connaissances ont été obtenues chez l’homme lors de recherches ou d’observations médicales, et chez les animaux de manière expérimentale. Ces connaissances permettent de mieux comprendre les processus biologiques sous-jacents à la perte de conscience et à l’installation de la mort dans le cadre de l’abattage. La synthèse a pour but de contribuer à la réflexion sur l’amélioration des procédés d’étourdissement et de mise à mort fréquemment utilisés en France du point de vue de la protection animale. Les références citées représentent une partie de l’ensemble des références consultées et traitent les concepts ainsi que les principes fondamentaux et consensuels. La synthèse concerne les espèces bouchères principales, hormis les poissons, consommées en France et en Europe.

 

Lire la suite : http://www.viandesetproduitscarnes.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=633%3Amecanismes-neurobiologiques-mis-en-oeuvre-dans-le-contexte-de-l-abattage-1ere-partie&catid=97%3Aderniers-articles-parus&Itemid=435&lang=fr


Mécanismes neurobiologiques mis en œuvre dans le contexte de l’abattage
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Un rapport de l'INRA estime que l'agonie des animaux peut se prolonger jusqu'à 14 minutes

L’Institut national de la recherche agronomique (Inra) est un organisme de recherche scientifique publique finalisée, placé sous la double tutelle du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche et du ministère de l'Alimentation, de l’Agriculture et de la Pêche.

Ses recherches concernent les questions liées à l’agriculture, à l’alimentation et à la sécurité des aliments, à l’environnement et à la gestion des territoires, avec une perspective de développement durable.

Le rapport d’expertise scientifique sur les douleurs animales, publié par l’INRA en décembre 2009 mentionne quant à lui des temps de perte de conscience chez les bovins supérieurs à 2 minutes pour 18% des animaux sacrifiés rituellement, pouvant aller jusqu’à 14 minutes.

« Chez les veaux et les bovins adultes, on observe une grande variabilité dans la perte de conscience des animaux avec des extrêmes de 8 secondes à 14 minutes, qui s’explique par la formation de faux anévrismes dans les durées les plus longues. Des études sur le terrain montrent que, après les abattages musulmans (halal) et juifs (shechita), la formation de faux anévrismes est observée chez 17 et 18 % des bovins, respectivement »
Douleurs animales : les identifier, les comprendre, les limiter chez les animaux d’élevage Rapport d'expertise, INRA, Décembre 2009, pages 232-233.

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Il faut interdire la cruauté de l'abattage rituel, disent les scientifiques du Royaume-Uni

Les bêtes doivent être étourdies avant l'égorgement disent les scientifiques!

Le Farm Animal Welfare Council (FAWC ou Assemblée pour le bien-être des animaux de
ferme) est un organisme de conseil indépendant, établi par le gouvernement anglais en 1979. Il a pour mission de surveiller et de conseiller le gouvernement concernant le bien-être des animaux de ferme depuis leurs conditions d’élevage jusqu’à celles de leur abattage. Il suit de près la question de l’abattage rituel qu’il considère comme particulièrement douloureux :

 

Les techniques d'abattage rituel pratiqués par les juifs et les musulmans sont cruels et devraient être interdits selon une évaluation scientifique qui conseille le gouvernement sur le bien-être animal.

 

Le Farm Animal Welfare Council affirme et conclut que l'égorgement des animaux sans étourdissement est une source significative de douleur et de détresse pour les animaux. Le comité qui comprend des experts scientifiques, agricoles et vétérinaires appelle le gouvernement à lancer un débat avec les communautés musulmanes et juives pour mettre fin cette pratique.

 

Les groupes religieux disent que cela ne serait pas contre leur interprétation des textes religieux. L'organisation musulmane, le Halal Food Authority ne voit pas vraiment de problème à ce que les animaux soient abattus rituellement dans des abattoirs conventionnels qui pratiquent l'étourdissement des animaux pour des raisons de bien-être animal, l'important est que les animaux restent encore conscients au moment de l'égorgement, mais dans les autres abattoirs halal et casher presque tous les animaux sont égorgés sans étourdissement préalable ce qui rendrait les animaux sensible à la douleur.

 

Dans un rapport sur l'abattage des animaux à viande blanche, le Farm Animal Welfare Council (FAWC) a conclu que les poulets et les dindes étaient susceptibles d'être encore conscients jusqu'à 20 secondes après l'égorgement. Ils concluent que l'égorgement se traduit par une blessure et une douleur importante ainsi qu'une détresse ... avant que l'animal perdre conscience. Le FAWC est en accord avec tous les consensus scientifiques qui prévaut que l'abattage sans étourdissement préalable cause de la douleur et la détresse inutile. Le FAWC recommande que tous les oiseaux doivent être pré-étourdis avant l'abattage. " Tout en reconnaissant la difficulté de concilier les découvertes scientifiques avec les questions de foi ( religieuse ), le FAWC exhorte toutefois le gouvernement à "poursuivre le dialogue avec les communautés religieuses" pour trouver une solution.

 

Le gouvernement ne tient plus de statistiques sur l'abattage religieux (ON SE DEMANDE POURQUOI? ) mais il y a cinq ans, le service d'hygiène de la viande a suggéré que 114 millions d'animaux ont été tués de façon halal et 2,1 millions selon les méthodes casher chaque année en Grande-Bretagne.

 
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Œuvre d'assistance aux bêtes d'abattoirs (OABA)

DE LONGUES MINUTES D'AGONIE
 
C'est chez les bovins que la perte de conscience tarde parfois le plus : entre 17 secondes et 5 minutes chez les veaux, entre 19 secondes et 11 minutes chez les bovins adultes. Une variabilité qui s'explique, précise Mme Terlouw, par un double phénomène.
 
"D'une part, cette espèce dispose d'une artère vertébrale, qui n'est pas coupée lors de l'égorgement. D'autre part, certains bovins développent des caillots au niveau des extrémités des carotides coupées, qui limitent le flux de sang vers l'extérieur. Dans ces cas-là, l'artère vertébrale peut prendre le relais et continuer à irriguer le cerveau", détaille-t-elle. D'où l'idée, défendue notamment par l'association Œuvre d'assistance aux bêtes d'abattoirs (OABA), de pratiquer systématiquement, pour cette espèce, un étourdissement "post-jugulation".

 
"Dans ce cas, l'animal est conscient -comme l'exige le rituel- lorsqu'il reçoit du sacrificateur le geste de l'égorgement, et c'est un autre opérateur qui lui donne, quelques secondes après, le coup de pistolet à tige perforante", précise le docteur vétérinaire Jean-Pierre Kieffer, président de l'OABA.

 

L’inacceptable agonie des bovins
Les actes les plus graves sont sans nul doute commis sur les bovins. Le rapport scientifique du groupe scientifique de l’Autorité Européenne de Sécurité des Aliments (AESA) précise clairement que les bovins et les veaux perdent conscience relativement lentement après l’égorgement. Il n’est pas rare de voir une vache ou un taureau agoniser plus de 2 minutes après avoir été égorgé. L’animal cherche à respirer, à se relever. “C’est un spectacle difficilement soutenable” écrivent les auteurs du rapport COPERCI. Lors des visites de l'OABA, les délégués relèvent parfois des cadences d’abattages de bovins incompatibles avec le respect des règles de protection animale. Ainsi, en 2005, un établissement abattait rituellement, sans étourdissement préalable à la saignée, 60 bovins par heure, soit un animal par minute ! Certains animaux, encore sensibles à la douleur se retrouvaient ainsi sur le poste dit d’habillage, pour la première opération consistant à enlever la peau de la tête. Cette opération était faite sur certains animaux encore vivants ! Pour ces faits parfaitement ignobles, une instruction judiciaire pour actes de cruauté a été ouverte à la demande de l’OABA. 

Source et Référence

Œuvre d'assistance aux bêtes d'abattoirs
Abattage_rituel_en_France.pdf
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Pour les scientifiques, un long article documenté sur les mécanismes de douleur dans l'abattage qui justifie l'obligation d'étourdissement et condamne le ‪#‎halal‬ et le ‪#‎casher‬

Étude scientifique
Pour les scientifiques, un long article documenté sur les mécanismes de douleur dans l'abattage qui justifie l'obligation d'étourdissement et condamne le ‪#‎halal‬ et le ‪#‎casher‬
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Fédération des Vétérinaires

« Du point de vue de la protection des animaux et par respect pour l’animal en tant qu’être sensible, la pratique consistant à abattre les animaux sans étourdissement préalable est inacceptable, quelles que soient les circonstances ».
Fédération des Vétérinaires d’Europe, Avis 02/104, 2006.

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Le syndicat des vétérinaires uni pour dénoncer l’abattage rituel

Le Syndicat National des Vétérinaires d’exercice libéral a adopté le 15 octobre dernier une motion concernant le recours à des méthodes permettant de mettre un terme à la longue agonie des animaux égorgés lors des abattages rituels. Le Président du Syndicat des Vétérinaires de la Région Paris Ile de France a déclaré quant à lui que les images de ces pauvres bêtes étouffant et souffrant pour rien ne peuvent que révolter un homme en général et un vétérinaire en particulier, habitué qu’il est à diminuer la douleur de ses patients grâce aux anesthésiques et antalgiques.

L'étourdissement pour tous

Les abattages halal et casher pourraient être réalisés en insensibilisant les animaux, tout en respectant les convictions de chacun. Alors pourquoi continuer à les faire souffrir ?

L'abattage rituel peur se dérouler avec étourdissement, comme cela se fait dans de nombreux pays déjà : Norvège, Suède, Autriche, Suisse, Nouvelle-Zélande...

Exigences religieuses et réglementation sont parfaitement compatibles.

Documents scientifiques attestant de la possibilité de réaliser l'abattage rituel avec l'étourdissement :

DE L’ETOURDISSEMENT DES RUMINANTS DE
BOUCHERIE PAR ELECTRONARCOSE.
CONSEQUENCES POUR L’ANIMAL ET SA
CARCASSE.
These_electronarcose.pdf
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LE DEGRE DE REVERSIBILITE
DE L’ETOURDISSEMENT DES ANIMAUX
D’ABATTOIR
Veterinaire_etourdissement2006.pdf
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Scientific Report of the Scientific Panel for Animal Health and Welfare on a request from the Commission related to welfare aspects of animal stunning and killing methods
ScientifiqueUE_abattage.pdf
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Rapport du (Welfare of Farmed Animals at Slaughter or Killing)

Les conséquences terrifiantes pour les animaux d'un égorgement sans étourdissement préalable sont expliquées dans un rapport : "Report on the Welfare of Farmed Animals at Slaughter or Killing ; Part 1: Red Meat Animals", publié en 2003 par le Farm Animal Welfare Council (FAWC), organisme consultatif indépendant constitué de vétérinaires, de zoologues, de chercheurs et de spécialistes de la protection des animaux : "Quand une incision transversale très large est pratiquée au cou, divers tissus vitaux sont sectionnés: peau, muscles, trachée, œsophage, artères carotides, veines jugulaires, principaux faisceaux nerveux (p.ex. nerfs vagues et nerfs phréniques) ainsi que divers nerfs de moindre importance. Une incision aussi importante entraîne inévitablement une rupture d'information sensorielle vers le cerveau chez un animal sensible (conscient). Nous sommes persuadés qu'une blessure aussi considérable entraîne une douleur et un stress très importants pendant le laps de temps qui précède l'insensibilité". Le FAWC a demandé l'interdiction de l'abattage rituel sans étourdissement préalable et Judy MacArthur Clark, qui en était alors la présidente, a déclaré: "Il s'agit d'une incision importante dans le corps de l'animal et dire qu'il ne souffre pas est tout à fait ridicule".

Report on the the Welfare of Farmed Animals at Slaughter or Killing
pb8347.pdf
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Rapport de One-Voice

Cliquez sur la photo pour consulter le rapport
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Même les plus anciennes études allaient dans le même sens

Farm Animal Welfare Council (FAWC) - Compassion in World Farming (CIWF)

L’abattage sans étourdissement préalable accroît le temps nécessaire à la perte de conscience parfois jusqu’à plusieurs minutes, période pendant laquelle l’animal peut être soumis à une souffrance inutile provoquée par une possible aspiration de sang, ou une possibilité d’asphyxie. Les recherches menées par le Farm Animal Welfare Council (FAWC) conduisent à la même conclusion (FAWC,2003). Un rapport du Compassion in World Farming (CIWF) britannique rappelle en outre les positions non publiées du Comité scientifique vétérinaire de la Commission européennee en faveur de l’étourdissement. Il appuie ses arguments sur de nombreuses études réalisées sur les différentes espèces d’animaux d’abattage, parmi lesquelles celles d’Anil et al. (1995a), Blackmore (1984), Daly et al. (1988), Gregory et Wotton (1984).

Source The European Commission’s Scientific Veterinary Committee (SVC) were sufficiently concerned about the pain involved in religious slaughter to recommend (in an unpublished 1992 Statement) that “stunning before, or within 5 seconds after, the cut should be made a general requirement” for cattle, sheep and chickens undergoing religious slaughter (Stevenson, CIWF, 2001, p. 21).

En 2004, le « Department for Environment Food and Rural Affairs » (DEFRA) lance une consultation autour de sa réponse au rapport du « Farm Animal Welfare Council » (FAWC) sur la question du bien-être et de l’abattage des animaux. Dans son rapport remis l’année précédente aux autorités britanniques, le Farm Animal Welfare Council (FAWC) concluait notamment que la situation en matière d’abattage rituel n’était pas satisfaisante, que l’abattage sans étourdissement préalable, tel qu’il était pratiqué, était inacceptable et proposait la suppression pure et simple de toute dérogation à l’étourdissement
(FAWC, 2003, p. 36). Ses conclusions, sur ce point, n’étaient pas éloignées de celles d’un autre rapport spécialement consacré à l’AR, publié près de vingt ans auparavant (FAWC, 1985)

 

Créé en 1979, le Farm Animal Welfare Council (FAWC) a pour mission de conseiller le gouvernement britannique sur les changements législatifs à apporter pour améliorer le bien-être des animaux de ferme, dans leur lieu de production, sur les marchés, en transit et dans les abattoirs. La garantie du droit des animaux de boucherie à ne pas souffrir au moment de l’abattage relève de ses fonctions.

Enjeux autour de l'abattage rituel
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